Les questions soulevées par la prise en charge de l’hépatite C chez l’usager de drogues débordent largement le cadre purement clinique et thérapeutique. Les difficultés existent avant même la notion de dépistage, qui nécessite une conscience du risque.
Plus tard, le dépistage effectué, c’est l’accès au traitement et au bilan préalable qu’il faut patiemment organiser. Enfin, le traitement lui-même demande une coopération active entre le patient et l’équipe qui le soigne.
De nombreuses initiatives cherchent à apporter des solutions à l’une ou l’autre de ces embûches. Quand le laboratoire Roche est sollicité, il apporte son soutien à ces expériences sous la forme la plus adaptée au projet. Ce chapitre de ce Flyer hors-série décrit cinq actions concrètes entreprises pour améliorer, à des étapes différentes, avec des moyens différents, la prise en charge de l’hépatite C chez l’usager de drogues. Peut-être ces actions inspirerontelles d’autres initiatives.
Bordeaux : Le Fibroscan pour amener au dépistage de l’hépatite C
Limoges : Des conseils patiemment répétés pour venir à bout des réticences
Hauts-de-Seine : Le Plan Hépatites du Trait d’union
Paris : Une consultation d’hépatologie dans un lieu de vie pour faciliter les soins
Médiateur en santé publique : Faciliter la communication pour améliorer le soin